Comment tout a commencé.

Cette oeuvre est une fiction, toute ressemblance avec des personnes vivantes ou décédées ne seraient pas fortuites, certaines scènes seront d'une incommodité et d'un politiquement incorrect total et pour cette raison elle devrait être interdite à tout public. L'auteur souligne le fait que c'est un plagiat énorme, et que vous devez pouvoir pratiquer l'ironie si vous voulez apprécier son écrit. L'auteur se donnera peu de mal pour vous satisfaire, son mode de vie faisant en sorte qu'il est satisfait de tout ce qu'il fait. L'auteur à un humour à chier, pour cette raison cet écrit sera aussi médiocre que celui-ci. L'auteur est un consommateur excessif de drogue, ainsi, il fera beaucoup de photes d'aurtograffe.L'auteur vous met en garde sur la présence de dialogues d'une intelligence relativement basse, et de propos plus que déconcertants.L'auteur vous met en garde qu'à prendre ce livre au dixième degré vous pourriez vous croire trop intelligent et ne pas saisir le message inexistant qu'il essaiera de vous faire passer. L'auteur vous précise que sa mère buvait lorsqu'elle était enceinte de lui et que pour cela il est un peu atteint de connerie aiguë.L'auteur vous rassure, vous resterez le(s)/la même(s) après avoir lu cet écrit qui durera aussi longtemps que l'auteur le voudra.L'auteur vous fait savoir qu'il parle de lui à la troisième personne car il est d'une totale modestie et d'une énorme mégalomanie, et qu'il emmerde ceux que ça dérange.L'auteur finit par déclarer qu'il n'a rien à déclarer à la police française ou étrangère et qu'aucun message personnel ne sera glissé dans son écrit, les personnages seront triés sur le volet,ainsi ceux qu'ils n'aime pas ne peuvent pas l'accuser de diffamation. Selon l'article 546§9 du code pénal de ma tête , tout plagiat sera repéré et immédiatement déclassé en bourse afin de faire faire faillite au vulgaire copieur.Oeuvre protégée par la législation en vigueur dans le monde des bisounours.

          C'était une petite bourgade tranquille, perdue au milieu des pâtures, des champs et des enclos. Les chèvres et les vaches étaient adulées par les habitants consanguins de ce village formé ,il y a une petite centaine d'années, par deux familles, voulant jouer à Adam et Eve. Pour cela, la nudité y était monnaie courante et la pudeur inexistante. Dans ce petit village , que nous appellerons P... afin de le protéger, vivait désormais vingt familles. La famille Monodent, était la plus nombreuse, elle représentait 70 personnes sur cet endroit de 140 âmes, on reconnaissait la famille Monodent par sa particularité physique à n'avoir qu'une incisive sur la mâchoire supérieure.C'est ici que mes parents ,Roland et Mireille ont décidé de s'installer pour se retirer du bruit de A... la grande ville la plus proche. Je ne comprends toujours pas pourquoi ils ont absolument tenu à partir de A... avant ma naissance et même après. Surtout pour cette immondice, cette rase campagne qu'était P... Mais bon, les voies de mes parents sont impénétrables.Au fait moi c'est Dimitri, non parce que je l'avais pas encore dit.Ma soeur aînée ,mon père, ma mère , et moi en tant que foetus, nous avons emménagé dans une bâtisse somme toute récente, sur deux étages, en face des Blackos. Les Blackos, étaient nos voisins, une mère et son fils, ma mère pouvait pas se piffrer la mère de Jeannie, Jeannie c'est son surnom en vérité il s'appelle Jean, j'aurais pas aimé m'appeler comme ça.Jeannie et moi on était les meilleurs amis du monde. Seuls contre la paysannerie, seuls à vouloir grimper l'échelle sociale, seuls à vouloir intégrer le "Hall Of Fame" , les seuls avec de l'ambition. Nous amenions un vent nouveau à P..., les seuls à être un peu différent aussi... Y avait que nous pour nous habiller comment dire... d'une manière extravagante. Oh mais voilà ma mère qui arrive.... Si elle me chope avec mon journal intime je suis sur qu'elle va se murger au pinard, allez au revoir.

Ps: Je hais Andy!J'te raconterais pourquoi.